9 décembre 2022 – https://guiame-com-br.translate.goog/ – , Hernandes Dias Lopes
Ce que nous voyons n’est pas seulement une tolérance à l’erreur, mais une inversion brutale des valeurs.
La société contemporaine vit sous la dictature du relativisme moral. Dans cette culture décadente, défendre des valeurs et des principes absolus prend une position radicale. Il est étiqueté rétrograde et intolérant.
Dans cette société écœurante de péchés, les gens s’aiment plus eux-mêmes qu’ils aiment les autres ; les choses matérielles plus que la famille et les plaisirs plus que Dieu.
Nous assistons, consternés, à l’avancée effrénée de l’iniquité, à la croissance irrésistible du mal, à l’escalade vertigineuse de la violence. Ce que nous voyons n’est pas seulement une tolérance à l’erreur, mais une inversion brutale des valeurs.
Ils appellent lumière ténèbres et ténèbres lumière ; ils applaudissent le vice et se moquent de la vertu ; ils se moquent de l’honneur et louent l’impudeur ; favoriser le crime et pénaliser l’honnêteté.
Dans cette culture pervertie et corrompue qui détruit les fondements, rejette la vérité, se moque de la justice, se moque de la pureté et rabaisse le sacré, il faut avoir du courage et une fermeté granitique pour ne pas capituler devant les pressions du mal ni rester accroupi devant les séductions du monde.
Voici quelques valeurs non négociables :
- Premièrement, la valeur de la liberté. La liberté est une valeur non négociable. Une nation ne sera jamais grande si ses citoyens vivent dans la peur. Là où le peuple a la voix muselée, la pensée patrouillée et l’opinion pénalisée par les rigueurs de la loi, là règne l’oppression. La liberté est un bien aussi précieux que la vie. Nous ne devons jamais défendre des idéologies qui promeuvent la restriction de la liberté, le contrôle de l’opinion et la suppression des libertés.
- Deuxièmement, la valeur de la propriété. Tout régime politique ou économique qui viole le droit de propriété, conduit à la violence, favorise l’injustice et trouble la paix. Les régimes socialistes, au nom de la justice sociale, là où ils se sont installés, ont favorisé une pauvreté généralisée. Il convient également de noter que le patrimoine construit au fil des ans, grâce au travail désintéressé des parents, appartient à leurs descendants et non à l’État. Les enfants ne doivent pas être considérés comme des parasites ; ils sont les héritiers légitimes.
- Troisièmement, la valeur familiale. La famille est le plus grand atout d’une nation. Il n’y a pas de nation forte avec des familles faibles et fragmentées. Détruire les piliers de soutien à la famille effondre la nation elle-même. Valoriser le mariage et le rôle des parents dans l’éducation de leurs enfants est le moyen le plus sûr de bâtir un pays fort.
- Quatrièmement, la valeur de la vie. La vie commence à la conception. L’embryon mis en gestation dans le ventre de la mère n’est pas une masse humaine qui peut être jetée, mais une vie humaine qui doit être protégée. Une nation juste ne peut être construite en versant le sang d’innocents. De même, la paix ne s’établit pas là où la vie est trafiquée, asservie et précocement abattue dans les repaires du trafic de drogue. La vie est sacrée et doit être protégée à toutes ses étapes.
- Cinquièmement, la valeur de la moralité. L’intégrité morale dans les institutions publiques, dans la famille et dans l’église ne devrait pas seulement être un vêtement pour prendre une photo parfaite ; il doit plutôt être l’ornement de la vie. L’exemple de l’intégrité morale doit venir d’en haut et commencer par les dirigeants. C’est un fait incontesté que nous observons nos dirigeants plus que nous ne les écoutons. Ils seront maîtres du bien ou promoteurs du mal. Ils seront sculpteurs de l’éternel ou tailleurs de l’éphémère. La Parole de Dieu dit que le péché est l’opprobre des nations. Sans intégrité morale, la société corrompt et la nation souffre.
Il est temps de résister à cette vague de laxisme moral qui sévit dans le monde. Il est important que nous travaillions sans relâche à la poursuite de valeurs morales non négociables qui ouvrent la voie à l’ordre et au progrès pour la nation.
Colette : Bon article, mais je n’aurais pas classé les valeurs dans le même ordre.
Esaie 10/1 : Malheur à ceux qui prononcent des ordonnances (lois) iniques et ceux qui transcrivent des arrêts injustes.
Proverbe 17/15 : Celui qui absout le coupable et celui qui condamne le juste sont tous deux en abomination à l’Eternel.
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