14 juin 2022 – Sabine de Villeroché – https://www.bvoltaire.fr/
On pensait leur avoir tout donné : impôts, école, mariage, visibilité médiatique, enfants, gamètes… ce ne doit pas être assez, vu ce besoin d’organiser partout en France ces marches de fierté pour parader, revendiquer, choquer, provoquer, histoire de rendre encore plus visibles et plus victimes les LGBTQI+.
Samedi, ce sera au tour de Paris, propulsée « capitale des droits LGBTQI+ » par l’intercession d’Anne Hidalgo, pour prendre en charge, comme tous les ans depuis vingt ans, l’intégralité de l’événement : soutien financier, organisation, logistique (sécurité, nettoyage), pavoisement de l’hôtel de ville aux couleurs arc-en-ciel et passages piétons décorés « gay pride ».
À Paris à tout âge et toute l’année, les LGBT sont des enfants gâtés. Leurs subventions jalousement conservées voire augmentées, (382.650 € pour 25 associations depuis 2020), leurs réfugiés soutenus et protégés, leurs anciens soignés et chouchoutés (grâce à une formation spécifique du personnel des EPHAD « pour les personnes LGBTQI+ vieillissantes »), leurs démarches administratives accompagnées par des services à l’accueil « bienveillant » et leur culture encouragée.
À l’échelon national, Emmanuel Macron n’est pas en reste. En 2020 avec Élisabeth Moreno dans le cadre de la DILCRA (Délégation interministérielle dévolue à la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la haine anti-LGBT), il met en place un «plan national pour l’égalité des droits, contre la haine et les discriminations anti-LGBT+ pour la période 2020-2023 ».
Une série de mesures qui vont toutes dans le même sens : améliorer les droits des LGBT, lutter contre les discriminations, favoriser l’accès à la santé, au sport, au travail, aux relations internationales avec un budget de de 1,5 M € par an alloué « aux acteurs notamment associatifs qui œuvrent dans ce domaine ». L’école y est considérée comme le « premier lieu de sensibilisation et de prévention des LGBTphobie ».
Aussi, « la lutte contre l’homophobie et la transphobie est inscrite dans les programmes scolaires ». Elle s’organise grâce à des associations militantes LGBT comme SOS Homophobie, Contact France, Estim’, Le Refuge Formation, etc., toutes agréées officiellement par le ministère de l’Éducation nationale pour intervenir régulièrement dans les classes.
La circulaire Blanquer (du nom de cet ancien ministre battu aux élections dimanche !) qui permet à des élèves mineurs de changer de sexe avec la complicité des professeurs sans que leur famille ne le sache est une concrétisation rapide et efficace du plan Macron-Moreno. De même la loi interdisant les thérapies de conversion votée en janvier dernier. Mais à lire le document de présentation du plan, beaucoup d’efforts restent encore à faire…
Alors même que le monde de l’enfance est cerné par l’idéologie LGBT avec ses barbies transgenres ses légo arc-en-ciel et ses parades mickey « magical pride », plus un domaine de nos vies (école, monde du travail, tourisme, logement, santé, médias, collectivités locales, décisions gouvernementales, transports, législation…) n’échappe aux codes et interdits LGBTQI+ compatibles.
Un courant de pensée woke parfaitement synthétisé lors de son passage télé par ce responsable de la Marche des fiertés, justement, Arnaud Gauthier-Fawas en 2018, qui accusait un journaliste tout penaud et repentant de « mégenrage » :
« Je ne sais pas ce qui vous fait de dire que je suis un homme. » « Il ne faut pas confondre identité de genre et expression de genre, je suis non binaire », avant de rappeler : « Je ne suis pas blanc non plus… »
Extrait de l’émission @arretsurimages : « Je ne suis pas un homme Monsieur,[…] je ne suis pas blanc » déclare Arnaud Gauthier-Fawas (@InterLGBT) pic.twitter.com/0ZGwC4Qeu0
— TV Libertés (@tvlofficiel) July 2, 2018
Les Français souffrent : de l’inflation, de l’insécurité, du séparatisme, du terrorisme, de l’islamisation, de l’illettrisme, de la disparition de leur identité et du saccage de leur patrimoine (je rajoute de leur identité Judéo-chrétienne). Emmanuel Macron nous fait entrer dans une période d’économie de guerre. Pour combien de temps encore devrons-nous financer ces délires idéologiques, ces défilés grotesques et cet endoctrinement de nos enfants ?
Colette : Personne ne se soucie de ce que ces situations engendrent pour les disciples de Christ. Nous chrétiens, sommes choqués par ces mouvements par cette mutilation de notre société, est-ce qu’on nous accorde une visibilité comme pour les LGBTQI+++++++ ?
Nous sommes tristes parce que les valeurs de notre Seigneur sont foulées au pied par ce monde impie. Nous sommes tristes car nous voyons et entendons que même parmi les croyants, certains sont d’accords avec ce monde de péchés, sous couvert de l’amour, que ce n’est pas en laissant le pécheur dans son péché, qu’on lui manifeste de l’amour, car cet amour que vous pensez lui donner le conduit tout droit en enfer.
Rappelons-nous que Dieu aime le pécheur, mais Il hait le péché. qu’on ne se moque pas de Dieu. ce que l’homme a semé il le récoltera.
Le jour du grand tribunal il y aura foule au ban des accusés. Ils ne se rendent même pas compte à quel point Satan les a trompés. Cette peste LGBTetc… est une des pires insultes à la face de notre grand Dieu.
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