8 octobre 2021 : acontecercristiano-net, traduction de google

Le président du Salvador, Nayib Bukele, a écarté la possibilité de légaliser l’ avortement, l’égalité du mariage et l’euthanasie , en retirant ces propositions de la réforme constitutionnelle qui est en discussion dans le pays.

« J’ai décidé, pour qu’il n’y ait aucun doute, de ne proposer aucun type de réforme à aucun article ayant à voir avec le droit à la vie (dès le moment de la conception), avec le mariage (en ne gardant que le dessin original, un homme et une femme), ou avec euthanasie », a déclaré le président salvadorien.

Le projet de réforme constitutionnelle a été préparé sous la direction du vice-président, Félix Ulloa, où des modifications ont été apportées aux articles qui réglementent l’avortement et le mariage. Bukele a décidé de retirer la partie qui parle de « conjoints » et non plus « d’ homme et de femme », ainsi que dans laquelle il reconnaît « le droit à la vie à la fois de l’enfant à naître et de la femme enceinte », ouvrant l’option à l’avortement lorsque la vie de la mère est en danger, ce qui est nié au Salvador.

La décision du président est intervenue après que la Conférence épiscopale d’El Salvador (Cedes) a rejeté les propositions dimanche dernier, a rapporté l’agence AFP.

« En tant que chrétiens, nous sommes absolument en faveur de la vie, de sa conception à sa mort naturelle », a déclaré Cedes dans un communiqué.
« Vous ne pouvez pas accepter une réforme constitutionnelle qui fixe les conditions de la légalisation de l’avortement . Ni (…)

Les évêques considéraient également que  » le fondement de la famille est le mariage (…) grâce à la complémentarité naturelle entre l’homme et la femme ».

Au lieu de cela, les organisations féministes ont regretté la position du président. « Il adopte une attitude conservatrice », a déclaré à CNN Morena Herrera, présidente du Groupe citoyen pour la dépénalisation de l’avortement.

La proposition de changement est en cours d’examen par le président Bukele, qui doit la remettre à l’ Assemblée législative pour étude et approbation.

Le document envisage également l’extension du mandat du président de 5 à 6 ans, la suppression de la Chambre constitutionnelle de la Cour suprême de justice et la création d’une Cour constitutionnelle , ainsi que la mise en œuvre du plébiscite et la révocation de le mandat, entre autres changements.

Bukele, 40 ans, au pouvoir depuis 2019, bénéficie d’un large soutien populaire et a capitalisé sur le mécontentement des citoyens face aux partis traditionnels qui ont régné pendant trois décennies.



Colette : Enfin un Président qui reconnaît les valeurs de la Bible, donc les valeurs de Dieu. Puisse t’il y en avoir d’autres, dans le monde en tout cas, rien n’est moins sûr. Le monde est sous la coupe d’une minorité, qui croient en ses élucubrations et voudrait que le monde partage sa vision diabolique, car n’en doutons pas, au travers de cette minorité, c’est bien l’œuvre du diable que nous voyons.