2 Timothée 4/3-4 et 2 Timothée 3/5
En effet, un temps viendra où les hommes ne supporteront pas la saine doctrine. Au contraire, ayant la démangeaison d’entendre des choses agréables, ils se donneront une foule d’enseignants conformes à leurs propres désirs. Ils détourneront l’oreille de la vérité et se tourneront vers les fables.
Rien de nouveau sous le soleil me direz-vous ! Oui vous avez raison, mais lorsque je vois et que j’entends ce déferlement de péchés, mon cœur est triste car c’est le nom de Jésus qui est sali, bafoué, le nom de Dieu qui est mis au rang des souillures de ce monde, pour satisfaire les désirs de la chair et tout cela sous couvert chrétien. Tous ces hommes, ces femmes ne sont pas convertis, ils peuvent servir dans une sois disant « église »
3/5 : ayant l’apparence de la piété, mais en ayant renié la force. Éloigne-toi aussi de ces gens-là.
Voilà ce qu’ils ont « Les apparences de la piété » ( en grec : « ayant une forme de piété), c’est la profession de l’Évangile, et tous les faux-semblants de religion que l’on peut vouloir se donner par des motifs intéressés, tout en en reniant la puissance, c’est-à-dire en fermant son cœur à la repentance, au renoncement, à la sanctification, que produit nécessairement la vraie piété dans les âmes sincères.
Ce trait, qui se retrouve à toutes les époques parmi les hommes, c’est l’hypocrisie ou le formalisme.
Ces églises qui ne croient plus que la Bible est la Parole de Dieu
24 Février 2021 : chrétiens2000
GracePointe Church, une congrégation de la ville de Nashville, Tennessee (USA), a utilisé ses médias sociaux le 7 février dernier pour partager un résumé de la prédication de son pasteur, Josh Scott, sur les prétendues «incohérences» présentes dans la Sainte Bible.
«En tant que chrétiens progressistes, nous sommes ouverts aux tensions et aux incohérences de la Bible. Nous savons qu’il est impossible pour ces [problèmes] de respecter les normes modernes. Nous nous efforçons d’articuler plus clairement ce qu’est l’Écriture et ce qu’elle n’est pas », dit le texte de l’Église progressiste.
Selon la nouvelle doctrine de cette église, la Bible est un simple «produit de la communauté, une bibliothèque de textes, multi-voix, une réponse humaine à Dieu, vivante et dynamique».
Le mouvement progressiste a infiltré le milieu évangélique il y a quelques années et, doucement, ces nouvelles formes de croyances font d’énormes efforts pour convaincre l’écrasante majorité des croyants bibliquement « conservateurs », d’adopter une interprétation du texte biblique flexible et moulée selon les normes libérales de la société.
En 2017, un groupe de féministes qui se prétendent chrétiennes a déclaré, catégoriquement, que le livre saint du christianisme n’est pas la Parole de Dieu :
« La Bible ne doit pas être comprise comme la voix de Dieu, mais comme la mémoire d’un peuple » , a déclaré Valéria Vilhena en défendant une «réinterprétation» des textes.
Un nombre croissant de théologiens ne veut plus se référer à Dieu comme « Il »
24 Février 2021 : chrétiens2000
La diffusion de l’idéologie progressiste dans la société a créé des confusions sur le christianisme dans de nombreuses églises. Récemment, c’est un mouvement de théologiennes féministes aux Pays-Bas qui montre que même la manière de se référer à Dieu est devenue la cible d’une problématisation inhérente au politiquement correct.
On l’a vu en Suisse et ailleurs, en particulier dans le protestantisme, le nouveau christianisme, n’accepte plus la qualification masculine et imposante de Dieu.
Le groupe de féministes qui s’identifient comme théologiennes a décidé de contester la version de la Sainte Bible dans la « Nouvelle Traduction Néerlandaise» (Nieuwe Bijbelvertaling – NVB), en raison de l’utilisation du «e» majuscule lorsque Dieu est appelé «Il ».
Selon les informations du journal Trouw, pour les théologiennes féministes, Dieu ne doit pas être appelé «Il», mais plutôt «il», avec une petite lettre, car ils considèrent la majuscule comme le signe d’une «image patriarcale de Dieu».
Lorsque la NBV a été lancée en 2004, les références à Dieu comme «Il» n’étaient plus capitalisées. Cependant, dans la nouvelle version révisée, appelée NBV21, les mots sont encore plus modifiés. «L’aumône», par exemple, est remplacé par «un don de miséricorde».
Le journal protestant néerlandais Nederlands Dagblad a publié un article expliquant que, dans la Bible NBV21, il y a 12 000 changements par rapport à la version précédente, et que les traducteurs ont effectué ces changements après s’être servi de plus de 3500 réponses de lecteurs de la Bible.
Dans le texte de la lettre, les signataires se plaignent que l’utilisation de la majuscule comme signe de respect de Dieu est une «gifle» pour les femmes :
«La réintroduction de « Il » renforce une image patriarcale de Dieu et souligne la masculinité de l’être suprême », se plaignent les théologiennes féministes.
Etats-Unis : des séminatistes ne veulent plus qualifier Dieu de « Père », ça ferait trop sexiste !
11 Février 2017 : chrétiens2000
Deux importantes facultés de théologies ont demandé aux professeurs d’utiliser dorénavant le genre « neutre » pour se référer à Dieu !
Arguant du fait que les pronoms masculins en ce qui concerne Dieu, sont la pierre angulaire de ce qui a conduit au patriarcat et cela n’a plus de sens dans le monde d’aujourd’hui.
L’Église épiscopale discute de l’adoption du « genre » de Dieu
7 Juillet 2018 : chretiens2000
Le changement peut suivre l’exemple des luthériens de Suède.
Il y a onze ans déjà, le mouvement juif réformiste avait changé la référence à Dieu dans son livre de prières, passant du masculin au « Neutre ».
En 2017, ce fut au tour de l’Église Nationale de Suède, une confession luthérienne, de donner des instructions aux pasteurs et aux évêques pour qu’ils se réfèrent à Dieu de façon « neutre ». Autrement dit, Dieu pourrait être appelé à la fois « Mère » et « Père » dans les prières.
Cette semaine, le débat d’actualité de l’Église épiscopale aux États-Unis porte sur la révision de son « livre commun de prière » utilisé dans les églises confessionnelles du monde entier. Comme le rapporte le Washington Post, une décision sera prise pour déterminer si Dieu a (ou n’a pas) un genre.
Le pasteur transgenre prêche que Dieu est travesti et Jésus, le premier transsexuel
13 Juillet 2017 : chretiens2000
La théologie inclusive qui existe parallèlement au mouvement LGBT, est en croissance parmi les homosexuels qui se disent chrétiens. Loin de s’humilier devant la puissance de Dieu, ils préfèrent approuver leurs modes de vie, en affirmant que Dieu n’exclut personne et approuve les particularités de chacun. C’est le cas du premier pasteur transsexuel d’Amérique Latine ; Alexander Salvador; 36 ans.
Salvador qui préfère se faire appeler Alexya, a épousé un autre homme avec qui il partage la garde d’enfants adoptifs, dans une église incluant l’homosexualité comme mode de vie normal ; Igreja da Comunidade Metropolitana – ICM (église de la communauté métropolitaine).
Le clergé féminin de l’église anglicane souhaite dire « Elle » pour parler de Dieu
6 Juin 2015
Un groupe de femmes de l’Église d’Angleterre propose de dire «elle» pour parler de Dieu. Ces femmes font partie d’une organisation qui prétend militer pour « l’égalité des sexes dans l’église ».
Emma Percy, révérend de l’Église anglicane et représentante de l’organisation Women and the Church (Watch) a déclaré que l’utilisation du pronom «il» dans une conversation sur Dieu est une manifestation de sexisme, rapporte The Guardian.
« Lorsque nous nous référons à Dieu comme à un homme, cela suppose que les hommes sont plus semblables à Dieu que les femmes. Si nous disons que l’homme et la femme ont été créés à l’image de Dieu, alors [Dieu] peut être à la fois masculin ou féminin », argumente Emma Percy, chapelain du Trinity College d’Oxford, dont le discours a des accents de théorie du genre.
La bible parodiée des féministes est née...
Publié le 1 Décembre 2018 sur Blog La lumière du monde Rédigé par PERSCH Emmanuel ( les commentaires en violet sont de ce frère)
Fatiguées de voir les textes sacrés de la Bible utilisés pour justifier la « soumission des femmes », Elisabeth Parmentier et Lauriane Savoy ont décidé d’écrire leur propre version féministe du livre.
Lassées de voir la Bible utilisée pour légitimer une « soumission des femmes », une vingtaine de théologiennes protestantes et catholiques se revendiquant également féministes se sont réunies pour publier « Une Bible des femmes ».
Le projet a été lancé à Genève, en Suisse, par Élisabeth Parmentier et Lauriane Savoy, deux enseignantes de la Faculté de théologie, fondée il y a plus de quatre siècles (1559) par Jean Calvin, le père du protestantisme francophone.
(Pauvre Jean Calvin, s’il voyait ça…)
« On a constaté autour de nous qu’il y avait énormément de méconnaissance des textes bibliques, beaucoup de gens qui ne les connaissent plus, ou bien qui pensent qu’ils sont complètement périmés et […] plus du tout en adéquation avec les valeurs actuelles d’égalité, etc. », a expliqué Lauriane Savoy, 33 ans.
(Il s’agit de comprendre en gros qu’il faut adapter la Bible au monde moderne pour lui plaire… Christ n’a t-il pas plutôt dit que sa venue apporterait la division et l’opposition entre ses disciples et les autres ? Matthieu 10.34-39)
L’idée a donc été, poursuit-elle, de « montrer que les valeurs féministes et la lecture de la Bible ne sont pas incompatibles ».
(Ah bon ? Lorsqu’on se donne la peine de faire quelques recherches sur les valeurs du féminisme qui défendent notamment l’avortement et l’ immoralité sexuelle ; j’ai personnellement beaucoup de mal à y voir une compatibilité avec la Bible…)