Par cet article je tiens à vous expliquer pourquoi vous ne trouverez pas sur ce site les logos des réseaux sociaux.
Trop de dérives sur ces réseaux qui ne touchent pas que la politique, la santé, les opinions personnelles sur tel ou tel sujet, mais la Bible et les chrétiens, nous qui sommes disciples de Christ.
Je mets quelques bribes d’articles vus sur différents médias qui montre les déviances de ces réseaux et leur pouvoir malsain. Certains me diront : « oui mais on peut parler de Dieu, de Jésus, je répondrais, OK, mais pas au prix de compromis avec mon ennemi. »
- « Le Président Trump est sujet à une forme « d’impeachment » de la part des patrons de Twitter et de Facebook et BFM TV semble plutôt satisfait de cette annonce. Qui s’en étonnera?
la fermeture des comptes FB et Twitter du Président met en lumière le pouvoir exorbitant que s’arrogent les dirigeants de ces GAFAM hors de tout contrôle et cela dépasse largement le cas Trump.
Faut-il rappeler que les GAFAM ne sont que des entreprises commerciales dont le but devrait se limiter à fournir un service technique?
Elles n’ont ni la compétence, ni l’autorité juridique, encore moins morale, pour juger de l’opportunité de fermer le compte d’un individu quel qu’il soit, simple citoyen ou dirigeant politique.«
- « Cette censure rampante exercée par ce réseau se manifeste en dehors du cadre du droit (qui définit précisément ce qui peut tomber sous le coup de la loi : incitation à la haine raciale, diffamation…) et dont l’exercice revient aux autorités judiciaires ou politiques comme les chambres démocratiquement élues des représentants de la Nation.
Le problème est qu’elle s’exerce sans contrôle et selon des critères vaguement définis par on ne sait qui.
Voilà la porte ouverte à tous les abus. Car ne nous trompons pas ces firmes n’ont aucune morale, elles ne sont guidées que par le profit et leur intérêt à court terme qui est de conserver le maximum de clients même si cela doit se faire au détriment des principes fondamentaux de la liberté ou même de l’existence des États.
Les patrons des GAFAM rêvent d’un marché mondial « liquide » pour écouler leurs services, c’est à dire un marché sans barrière de la part des États, qui imposent leurs normes nationales, leurs formalités administratives, leur droit comme cadre de régulation des relations sociales. »
- « Parmi les facteur qui conduisent un État à imposer ses règles, il y a le peuple qui veut préserver son identité nationale, laquelle est matérialisée par la culture, le patrimoine, les traditions, sa religion…
L’objectif de ces firmes apatrides est donc de faire disparaître les identités nationales en diluant les cultures, mais aussi en s’arrogeant la capacité à intervenir dans le débat public pour accélérer l’invalidation de tout ce qu’est lui semble contraire.
Les nouveaux cas de censure sur les réseaux sociaux repose la question de la puissance de ces plateformes. Le gouvernement doit-il laisser faire ou alors prendre des mesures de rétorsion comme nos voisins européens ? »
- « De quel droit Facebook s’arroge-t-elle le droit de censurer des leaders politiques Français ? C’est la question importante qui se pose après les déclarations de Jordan Bardella et Marion Maréchal Le Pen.
“Après avoir censuré le Président des États-Unis, ils n’ont plus de limite, a dénoncé Jordan Bardella auprès du Figaro. Nous entrons dans un climat de mise sous tutelle des libertés d’expression. C’est très inquiétant”.«
- « Cette vaste entreprise de censure n’a pas de limite, le scepticisme envers l’actuelle campagne de vaccination, le simple partage des propos de certains professeurs et plus généralement l’exposition de points de vue éloignées des thèses officielles – concernant l’épidémie de Covid-19 ou tout autre sujet politique sensible – suffisent désormais pour voir son compte bloqué, « suspendu ou supprimé, sans recours possible.
- « Les régimes totalitaires du XXème siècle sont dépassés : les GAFAM (Google, Amazon, Facebook, Apple, Microsoft), ainsi que Twitter et YouTube (qui appartient à Google) entendent désormais s’ingérer systématiquement dans le débat public des démocraties occidentales et modeler l’opinion publique en empêchant la diffusion de tout ce qui pourrait contrarier la propagande progressiste, cosmopolite et libertaire, dans cette démarche EXIT les croyants. »
- « Comme l’écrivait déjà en 2018 Diana Filippova : Facebook n’est plus l’outil de notation des plus beaux étalons du campus de Harvard. […] C’est désormais une organisation d’un genre nouveau dont nous ne cessons de mesurer l’indomptable puissance ». Plus tout à fait une entreprise. Pas davantage une classique multinationale. Un « quasi-État », écrit-elle »
- « La Hongrie et la Pologne, qui ont trop souffert du communisme et du nazisme pour accepter sans rien dire de passer sous la férule d’un nouveau totalitarisme, proposent des solutions législatives pour éviter que des intérêts financiers étrangers décident à la place des législateurs ce que les citoyens ont le droit de dire. »
- « Lassés de voir leur publication signalées sur FB, des chrétiens américains ont eu l’idée de lancer leur propre réseau social : SocialCross. Nouvelle plateforme destinée à réunir les chrétiens du monde entier. Ils peuvent discuter et partager leur point de vue en toute liberté, sans que leur liberté d’expression ne soit mise à mal et sans craindre que leurs comptes ne soient suspendus ou bloqués.
Rick Penkosli, co-fondateur de la plate-forme, prédicateur en Virginie a déclaré :
« c’est un endroit où nous qui croyons en Christ, pouvons tous nous réunir, partager les uns avec les autres et apprendre les uns des autres et ce sans craindre que les gens ne signalent notre publication ou que FB nous bloque pendant 30 jours. Le site reste ouvert à tous, tant qu’ils comprennent que nous sommes un site chrétien, géré par des chrétiens ».
- Par Julio Severo, FB m’a donné un message le 15 février 2018:
Nous avons supprimé quelque chose que vous avez publié.
Il semble que quelque chose que vous avez publié ne respecte pas nos normes communautaires. Nous supprimons les messages qui attaquent les gens en fonction de leur race, de leur appartenance ethnique, de leur origine nationale, de leur appartenance religieuse, de leur orientation sexuelle, de leur sexe ou de leur handicap.
Levítico 18.22: Não de deitarás com homem, como se fosse mulher; abominação é.
Le texte de conclusion, en portugais, a été ciblé et supprimé par FB. Ce message avait été initialement publié par moi en juin 2015 sur mon compte FB et sa traduction est :
Lévitique 18:22: Tu ne coucheras pas avec un homme comme avec une femme. C’est une abomination.
Voulant ou non, FB a traité Lévitique 18:22 directement comme une «attaque» contre «des personnes en raison de leur… orientation sexuelle, de leur sexe». Autrement dit, FB a traité la Bible comme un livre criminel!
Les directives de FB préviennent-elles ses utilisateurs que la Bible est un livre criminel? »