2 mai 2023 – Twitter et Evangélique Infos et actu.fr

La mairie de Crégy-lès-Meaux, en Seine-et-Marne, va faire retirer les modules préfabriqués d’une Église évangélique de la mission Vie et Lumière, installés en 2006 sur un terrain non constructible.

Ces installations, sur un terrain appartenant à la mission évangélique des Tziganes de France Vie et Lumière, se trouvent en effet sur une zone non constructible depuis près de quinze ans.

« Où allons-nous aller, où allons-nous accueillir nos fidèles ? » David Sauzer, pasteur au sein de l’église évangélique de Crégy-lès-Meaux, est désemparé.

Depuis 2006 et la mise en place des modules sans autorisation, la municipalité de Crégy-lès-Meaux et l’Église font un bras de fer judiciaire.

«J’ai laissé un certain temps à l’association pour trouver un autre terrain afin d’installer son lieu de culte. Mais face à son inertie, je dois aujourd’hui agir, car nul n’est au-dessus des lois», a déclaré le maire de la commune à La Marne le 1er mai.

La zone serait particulièrement exposée à des risques d’effondrement et de tassement dus à l’existence d’anciennes carrières à ciel ouvert trop faiblement comblées, et de carrières souterraines désaffectées.

Une situation dont l’Église Évangélique n’était pas informée, se défend le pasteur David Sauzer.

Le pasteur de l’Église, David Sauzer, a fait part de son étonnement car les maisons non loin des structures ne sont pas menacées.

Le frère de David Sauzer, Noël Sauzer, également pasteur au sein de l’Église évangélique de Crégy-lès-Meaux, pointe, lui, une injustice.

« C’est une discrimination envers les lieux de cultes, c’est une insulte. On a perdu le procès et je ne conteste pas la décision, mais pourquoi on doit partir alors qu’il y a des maisons autour, des sociétés qui peuvent rester »,

lâche-t-il, en indiquant qu’un recours va être déposé au tribunal de Meaux pour arrêter la procédure d’expulsion.

La ville attend une réponse de la sous-préfecture de Meaux pour décider de la date du retrait.

Colette : Je ne suis pas étonnée de lire cet article, le maire de cette commune est un gauchiste, donc, anti-Dieu, anti-chrétiens, et en plus des chrétiens tziganes, le comble pour le maire !

Ce terrain appartient à la mission Tziganes, pourquoi ne pas leur avoir donné le droit pour ces préfabriqués, comme ça été donné aux société ?

Car l’excuse du maire est injustifiée, si les maisons proches des modules ne sont pas menacées, ainsi que les entreprises installées, pourquoi ce lieu de culte est-il en danger ? Et la mairie a donné comme argument la dangerosité, mais il fallait le faire pour le reste des constructions dans la même zone, puisqu’il dit que nul n’est au dessus des lois. Nul autre que les chrétiens surtout.

Et un arrangement à l’amiable n’aurait-il pas été la meilleure solution, plutôt que la justice, et les aider à trouver un terrain aurait été possible pour la mairie ! Mais voilà ils sont chrétiens !

Tout ce qui fait penser à Dieu pour cette gauche humaniste doit disparaître ; « ôter cette foi que je ne saurais voir »