10 février 2023 – https://guiame-com-br.translate.goog – Hernandes Dias Lopes

Les critiques pensent que ses accusations sont vraies, mais ce ne sont que des mensonges éhontés.

« Mais vous salissez la vérité de mensonges, et vous êtes tous des médecins sans valeur » (Job 13:4).

  • Job était l’homme le plus pieux de sa génération. Dieu parlant de lui, dit qu’il n’y avait personne sur la terre comme lui, un homme intègre, droit et s’écartant du mal.
  • Job était l’homme le plus riche de sa génération et à l’époque l’homme le plus pieux.
  • Job était un père exemplaire et aussi un homme généreux. Il était les yeux de l’aveugle, les jambes de l’infirme et le pourvoyeur des veuves.

D’une manière mystérieuse et incompréhensible, Job a été durement éprouvé. Satan a accusé Job de servir Dieu par intérêt personnel et a affirmé qu’il aimait l’argent, la famille et lui-même plus qu’il n’aimait Dieu.

À l’insu de Job, Dieu a fait de lui son avocat sur terre et a placé sa défense entre ses mains. C’est parce que Satan a également laissé entendre que Dieu soudoyait Job avec des bénédictions pour recevoir son adoration.

Une tempête après l’autre est tombée sur la tête de Job et il a été battu et testé dans les cinq domaines les plus importants de la vie : les finances, les enfants, la santé, le mariage et les amitiés.

  • En tant qu’homme le plus riche, Job a fait faillite.
  • Étant un père zélé, il a enterré ses dix enfants en une seule journée.
  • Étant un homme en bonne santé, il a été atteint d’une maladie maligne.
  • Lorsque Job était au fond du puits, souffrant atrocement, sa femme lui a recommandé de maudire Dieu et de mourir.
  • Ses amis sont venus le réconforter et se sont transformés en consolateurs agaçants.

Job a été accusé d’être un voleur, un adultère, un fou et un profiteur.

C’est pour se défendre contre les accusations frivoles de ses amis que Job prononce les paroles ci-dessus.

Nous soulignons ici deux leçons :

Premièrement, les critiques croient que ses accusations sont vraies, mais ce ne sont que des mensonges éhontés. Les critiques ont une fausse théologie et adoptent une fausse herméneutique. Ils pensent que la souffrance de Job était une punition divine, à cause de ses nombreux et graves péchés.

Cependant, la vérité des critiques était entachée de mensonges. Ils ont raté la vérité. Ils étaient injustes dans leur pondération. Ils étaient cruels dans leurs accusations. Ils ont été réfutés par Job et repris par Dieu. Ils devaient retourner à Job et reconnaître qu’ils s’étaient trompés à son sujet. 

Deuxièmement, les critiques prétendant être des guérisseurs d’âmes sont des médecins inutiles. Les critiques, du haut de leur arrogance, se font passer pour des médecins, dans le but de diagnostiquer la maladie morale de Job et de panser ses blessures.

Mais, ils se sont trompés dans le diagnostic et les ressources thérapeutiques. Ils ne connaissaient pas Dieu, Job ou eux-mêmes. Enduits de mensonges, ils ont appliqué du vinaigre sur les blessures de Job, aggravant encore ses souffrances.

Job les appelait des médecins inutiles, bons à rien. Job a été restauré par Dieu, mais ses détracteurs ont dû aller voir Job pour demander des prières afin que Dieu les restaure.   

Les critiques sont partout. Quand ils voient le malheur de leur voisin, ils montent aussitôt au sommet de leur tour d’ivoire et déversent leurs paroles mensongères, qui ne servent qu’à aiguillonner les justes.

Ces critiques débarquent des médecins et des thérapeutes de l’âme, mais affligent les autres avec leurs fausses actions médicinales.

Ce sont des menteurs prétendant être des paladins de la vérité. Ce sont des médecins inutiles déguisés en thérapeutes efficaces.

Ses mots coupent comme une épée. Ses remèdes sont des poisons mortels. Que Dieu nous délivre des langues mensongères et des mains oppressives.

Colette : Ce genre d’amis (en Christ) j’en connais, malheureusement. Dans la maladie, ils viennent accuser, condamner, nous demander de sortir de notre péché.

Alors, affaibli par la maladie, alors qu’on a demandé la prière, l’onction d’huile des anciens, on se remet devant Dieu en lui demandant ce qui ne va pas dans notre vie.

On pense être en règle, car chaque jour, dans la prière on remet à Dieu, nos manquements, nos fautes, tout ce qui ne plait pas à Dieu dans nos vies, on demande pardon. On peut même se culpabiliser.

J’ai vécu ça. Et un jour Dieu me dit  » Je suis souverain sur toutes choses, même sur la maladie. garde-moi ta confiance, J’ai un temps pour tout. » Je bénis Dieu lorsqu’Il donne et lorsqu’Il reprend. Dieu m’a guéri en son temps.

Mais mes détracteurs ne sont jamais revenus me voir depuis ce moment là.

Ne vous laissez pas condamner et lier par le mots des critiqueurs, rappelez-vous que Dieu est souverain sur tout.