21 octobre 2022 – https://www.evangeliques.info/

Pour le Comité protestant évangélique pour la dignité humaine (CPDH), inscrire l’avortement dans la Constitution autoriserait une peine de mort pour les enfants à naître.

Les débats entre les deux chambres à ce sujet s’annoncent tendus.

Le Sénat a rejeté le 19 octobre en première lecture une proposition de loi visant à inscrire le droit à l’avortement dans la Constitution.

De vives délibérations ont abouti à un résultat serré: 139 voix pour, 172 voix contre. Une telle loi permettrait dans les faits le recours à l’IVG «à la libre demande de la patiente», sans condition.

« La majorité sénatoriale (de droite) a fait le choix de s’inscrire contre la volonté de 81% des Françaises et des Français», a réagi la sénatrice Mélanie Vogel, à l’initiative de la proposition.

«Cette bataille n’est pas terminée. Elle commence à peine.»

En effet, le texte devrait être débattu fin novembre à l’Assemblée nationale. Le parti Renaissance et la Nupes se préparent en outre à présenter des projets de loi constitutionnelle similaires.

A l’approche du débat, le Comité protestant évangélique pour la dignité humaine (CPDH) avait par ailleurs rappelé l’article 66-1 de la Constitution, qui déclare que «nul ne peut être condamné à la peine de mort».

«Et depuis le 6 septembre, la sénatrice écologiste Mélanie Vogel a déposé une proposition de loi ajoutant un article 66-2 visant à constitutionnaliser le droit à l’interruption de vie des enfants à naître. N’y aurait-il pas une contradiction évidente?» questionne l’organisme.

Colette : Ecolos, verts, progressistes, féministes, wokistes, les avorteurs de tous genres, trans et autres gays, voilà ce que nous devons combattre, car chacun de ces mouvements utilise les armes du diable, pour soumettre, déconstruire, avilir, salir l’humanité.

Que ceux qui ont voté contre ce projet débile, tiennent bon, en tout cas je vais les soutenir dans la prière. Sachant que ce projet de loi n’a pas lieu d’être, en France le droit à l’avortement n’est pas menacé.

Après ce sera l’inscription dans la Constitution du mariage pour tous, de la PMA, de la GPA, du wokisme, des pratiques gays et trans. Ce sera la porte ouverte à une Constitution de tous les abus.