7 janvier 2022
Colette : Un peu d’humour pour clore cette 1ère semaine de janvier 2022, même si à certains égards ce n’est pas drôle. Bien entendu vous avez deviné le « qui suis-je ? » le passe vaccinal.
- Nouvelle religion, oui, et là on trouve des millions de fervents croyants.
- Les gourous, oui, tous ces médias qui prêchent du faux à longueur de temps, souvent en ne recopiant que des infos vues ou lues dans chercher la véracité, ni les sources.
- La nouvelle eau bénite, oui, le gel hydroalcoolique, et
- le nouveau vêtement indispensable sinon rappel à la loi (quelle loi déjà ? Ah il n’en existe pas pour le port du masque!!) le masque en guise de voile.
- Et se repentir pour compléter cette nouvelle religion, car sans vaccin vous n’êtes pas sauvés.
- Pour terminer, je dois vous rappeler qu’ils ont un dieu « jupiter avec son aura christique ».
Au secours Seigneur !!!
Le covidisme est la règle comportementale établie par le gouvernement afin de vivre avec le virus.
Il est au milieu de nous, bien qu’invisible et doit occuper toutes les pensées, déterminer tous les gestes : dans les rencontres, les activités quotidiennes et dans tous les lieux, inspirant la peur et la soumission au catalogue infinis de lois, catéchisme covidien adaptatif au gré des besoins.
Il faut penser au virus : travailler, acheter, faire du sport, manger, se déplacer avec le virus. Il y a les grands gourous chargés de prêcher la bonne parole dans les médias, la nouvelle eau bénite qu’est le gel hydroalcoolique et le vêtement distinctif qu’est le masque.
Faire abstraction de la présence du virus, ou pire, ne pas croire en sa présence, choque l’opinion covido-conservatrice et est considéré comme une hérésie.
Plus grave encore, le péché de fraude au passe vaccinal, est puni lors d’un premier manquement d’une amende forfaitaire de 1 000 euros contre 135 euros auparavant.
Mais, grâce à la nouvelle loi sur le passe vaccinal, le gourouvernement vous octroiera 30 jours de sursis. Seule condition à cette « clause du repenti » : se repentir auprès de l’administration, promettre de recevoir l’injection salvatrice et fournir le justificatif correspondant.