Publié par le : Lesalonbeige le 23 juin 2021 écrit par Michel Janva Vu chez Dreuz.info
La Ministre hongroise de la Famille, de la Jeunesse et des Relations Internationales et Vice-Présidente du Fidesz, Katalin Novak, l’a annoncé lors d’une conférence chrétienne lundi, écrit Remix News.
M. Novak a souligné que pour les Européens, le christianisme n’est pas une question de choix, mais de prédestination, et qu’en Hongrie
“ils ne se sont pas contentés de proclamer et de parler d’une sorte de renouveau chrétien, mais ont décidé de prendre des mesures décisives au nom du gouvernement.”
Ainsi, selon les données d’Eurostat, de tous les pays de l’Union Européenne, c’est la Hongrie qui consacre la plus grande partie de ses fonds au soutien des églises et des établissements d’enseignement religieux.
Au cours des dix dernières années, le nombre de citoyens hongrois qui soutiennent l’Église avec 1 % de leur impôt sur le revenu a augmenté de 400 000, le nombre de baptêmes a inversé la tendance à la baisse, les mariages religieux ont augmenté et un demi-million d’enfants se sont inscrits à l’enseignement religieux.
En outre, a ajouté M. Novak, l’État a doublé le nombre d’institutions éducatives confessionnelles dans lesquelles fonctionnent des crèches, des jardins d’enfants et des écoles, et par conséquent le nombre d’enfants qui les fréquentent.
Selon elle, depuis 2010, de plus en plus d’enfants hongrois naissent dans le cadre du mariage, le nombre d’avortements dans le cadre du mariage a presque diminué de moitié, et le nombre de naissances illégitimes a diminué de deux tiers.
Dans le même temps, le taux de divorce est le plus bas depuis 60 ans. Katalin Novak a également évoqué l’introduction de l’éthique religieuse dans le système d’enseignement public, la restauration de 3 000 églises et la construction de 130 nouvelles. Elle a souligné qu’aucune église n’a été fermée ou transformée en centre commercial.
Le Premier ministre néerlandais Mark Rutte a déclaré que la Hongrie devrait être expulsée de l’Union européenne si elle refuse de revenir sur sa loi anti-LGBT+.
Christian Larnet pour Dreuz.info.
Le 15 juin, l’Assemblée nationale hongroise – un organisme démocratique donc, élu par le peuple et le représentant – a adopté une loi interdisant la discussion des différentes identités de genre et orientations sexuelles dans les écoles.
Cette législation de grande portée interdit également que les LGBT soient mis en avant dans la publicité ou les médias susceptibles d’être vus par les moins de 18 ans afin de protéger les esprits malléables contre cette propagande.
« Si la Hongrie refuse de retirer sa loi anti-LGBT+, en ce qui me concerne, il n’y a plus rien pour eux dans l’UE », a déclaré M. Rutte, rapporte DutchNews.nl.
« C’est un point tellement fondamental, que si nous laissons tomber, nous ne sommes rien de plus qu’un bloc commercial et une monnaie », a-t-il ajouté.
« Nous devons le mettre à genoux », a-t-il déclaré aux journalistes (sous entendu, les forcer à l’obéissance et à la renonciation de leur démocratie.)
Le Premier ministre néerlandais a ajouté : « Mais je ne suis pas le seul à décider de cela : il y a 26 autres (pays de l’UE). Cela doit être fait étape par étape ».
M. Rutte a également évoqué les zones franches LGB en Pologne, qui ont suscité une vive controverse – mais seulement auprès des progressistes – l’année dernière.
M. Rutte a ensuite fustigé le premier ministre hongrois Viktor Orbán, le qualifiant de « sans-gêne ».
Colette : Bravo pour ce pays la Hongrie, qui tient bon face aux démons de satan. Bravo pour ce pays qui préfère glorifier Dieu que le péché. Honte à tous les pays qui ont submergé cette nation de critiques et de jugements si elle ne revenait pas sur sa loi qui interdit que les mineurs soit enseignés par le lobby lgbt, c’est aux parents que revient la charge de parler sexualité avec leurs enfants.
Un lecteur de Dreuz a écrit ce qui suit : » Il ne s’agit pas DU TOUT d’une loi homophobe mais de préservation des enfants mineurs face aux assauts acharnés de ces minorités jusque dans les écoles. »